Une œuvre d’unité

La Fraternité est née d’une amitié concrète
entre Petite Sœur Magdeleine
et une tribu de nomades musulmans, en Algérie…

Naître dans le peuple, dans la culture de l’autre,
a donné forme à notre manière de vivre l’unité;
œuvre de toute notre vie…


Dans les relations au quotidien

C’est dans le partage ordinaire du quotidien que nous sommes poussées à vivre une confiance réciproque avec des personnes d’autres peuples, ou culture, d’autres religions, ou d’autres milieux sociaux… sans exclure personne.

Notre appel à rejoindre de préférence les plus petits de la société veut être signe de notre amour pour tous, pauvres et riches, tous aimés de Dieu.

Avec d’autres Églises

Notre appel à rejoindre de préférence les plus petits de la société veut être signe de notre amour pour tous, pauvres et riches, tous aimés de Dieu.

Il nous a amenées aussi à la rencontre de chrétiens différents,
appartenant à d’autres Églises.

Avec d’autres peuples d’autres cultures

« Notre village semble assez homogène composé aussi de toute une diversité: village musulman, avec quelques chrétiens catholiques et protestants.
Plusieurs ethnies se retrouvent là.

Nous sentons que tout est à découvrir, et qu’il y a place pour notre vocation à l’unité.

Nous arrivons en ce lieu avec notre « étrangeté ».
Nous sommes chrétiennes, pas jeunes, sans enfants.
Il y a des étonnements. »

Entre nous petites sœurs

Nos fraternités sont le premier lieu de l’unité en travail.
Nous aimons nous mélanger, de nationalités différentes.

Nous ne cherchons pas l’uniformité, mais l’accueil
de nos différences : de caractère, d’âge, de culture…

Le pardon, et les échanges qui clarifient nos manières
de nous situer ou d’agir, sont à la base de cette unité
en devenir.

Pas de modèle type d’une petite sœur idéale !
Chacune apporte la richesse de ce qu’elle est,
et essaie d’interroger ses certitudes ou habitudes.