Comme on se prépare pour une fête,
relisons notre histoire, préparons notre cœur,
pour de joyeuses retrouvailles.
Plus de masque ni de distanciation,
le nombre d’invités est illimité,
la rencontre est sans danger.
Bien qu’écrit quelques siècles avant la venue du Christ,
le texte qui suit ne résonne-t-il pas de manière si actuelle?
Le Peuple de Dieu, dans l’épreuve de l’Exil,
médite sur son histoire et revient supplier le Seigneur:
Pourquoi, Seigneur, nous laisser errer loin de tes voies
et endurcir nos cœurs en refusant de te faire confiance?
Tous, nous nous flétrissons comme des feuilles mortes,
et nos fautes nous emportent comme le vent.
Plus personne pour invoquer ton nom, pour se réveiller
en s’attachant à toi, car tu nous a caché ta face et
tu nous as laissés au pouvoir de nos erreurs.
Et pourtant, Dieu, tu es notre père,
nous sommes l’argile tu es notre potier,
nous sommes tous l’œuvre de tes mains.
Ce passage de la Bible, écrit par Isaïe au chapitre 64
est un des textes de la liturgie du premier dimanche de l’Avent,
ce temps durant lequel nous nous préparons à accueillir Celui
qui vient à notre rencontre : Jésus
« C’est seulement grâce à cette rencontre -ou nouvelle rencontre-
avec l’amour de Dieu, qui se convertit en heureuse amitié,
que nous sommes délivrés de notre conscience isolée et de l’auto-référence. »
« La joie de l’Évangile » n°8 Pape François
merci !
extraits de la Parole, images , commentaire
BRAVO !
Bon Avent
vf