La naissance du Christ est pour nous, petites soeurs de Jésus un chemin spirituel de fragilité et de confiance qui marque toute notre mission. L’artisanat que nous produisons veut exprimer et partager ce message de simplicité et d’espérance. Petit Jésus seul, personnages de la crèche… veulent dire cette simplicité.
En ce temps de Noël et à la demande de plusieurs personnes, voici quelques crèches produites à la Fraternité.
« Elle a quelque chose de si beau et de si grand cette crèche de Bethléem…
… parce qu’elle contient le Christ tout entier, à la fois Dieu et homme…
…. et que, dans le prolongement de ce berceau, il y a tout l’atelier de Nazareth et la Passion et la Croix et toute la Gloire de la Résurrection et du ciel. »
« Par un excès d’amour, le Christ, Fils de Dieu, a voulu passer par l’état d’impuissance du tout petit enfant, le seul état qui mette un être entre les mains des autres, dans un total abandon.«
« Regardez bien ce Tout Petit de la crèche: Il vous crie : tendresse… pour tous les humains. Il ouvre ses bras à l’univers tout entier. »
Les textes en italique sont de Petite sœur Magdeleine de Jésus, Fondatrice de notre Fraternité.
En ce temps de Noël une étoile perce le brouillard et nous mène à la Crèche, où Celui qui vient nous attend.
Le Prophète Isaïe nous l’annonce (35, 4) :
« Dites à ceux qui perdent courage : Soyez forts ! N’ayez pas peur ! Voici votre Dieu, Il vient Lui-même vous sauver. »
Il vient réparer le mal qui blesse la création tout entière, cette création dont nous sommes.
Comment ?
Simplement par sa présence, en venant chez nous.
Et quelle présence ! Celle d’un enfant impuissant.
La puissance de salut c’est cette impuissance, le seul fait d’être là, dans le consentement à ce qui est et adviendra, dans l’accomplissement de qui veut bien l’accueillir.
Les bergers et les mages, tous ceux qui s’approchent de cette impuissance, en sont illuminés
Puissions-nous, nous laisser éclairer par cette lumière, y trouver pour la transmettre toute la joie dont notre monde a besoin.
Le 6 novembre 1989 Petite Sœur Magdeleine voyait son attente enfin exaucée.
Quelle attente !
Déjà en 1966 elle écrivait :
« Tous ceux qui sont au ciel m’appellent. Pourquoi Seigneur me fais-tu attendre si longtemps cette rencontre si ardemment désirée?
Je veux tout ce que tu veux. Partir ce soir, demain… Vivre encore autant que tu le voudras même si, intérieurement, tout mon être aspire à toi. Personne ne sait, personne ne voit tout le secret de cette union avec Toi.
Mon Jésus tant aimé, j’ai dû rester si longtemps sans venir me reposer à tes pieds. Mais j’étais avec toi quand même et tu étais avec moi… Personne ne peut savoir l’intensité de cette attente. »
Un exemple proposé…
Le samedi 13 octobre, le Pape François, au cours de l’audience, a autorisé la Congrégation pour les Causes de Saints à promulguer le Décret concernant:
La Servante de Dieu, Magdeleine de Jésus, Fondatrice de la Fraternité des Petites Sœurs de Jésus, comme « Vénérable ».
Lorsqu’une personne est déclarée « Vénérable » par l’Église Catholique, c’est uniquement la vie de cette personne qui est proposée aux croyants afin d’être prise comme exemple, sans qu’aucun culte ne lui soit rendu.
A son tour Thierry Magnin, prêtre présent dans le groupe, partage sa relecture de cette session dans le Vercors
Sous Son regard
Nous étions invités à marcher « sous le regard d’Amour de Jésus ».
Ce regard qui appela Zachée à « descendre de son arbre et à accueillir Jésus dans sa maison »… … nous appelant à faire de même.
Celui qui se posa sur le jeune homme riche. Celui qui releva Pierre après son reniement. Celui qui donna Vie au fils de la veuve de Naïm, Celui qui nous a appelé par notre vrai nom pendant cette session.
« Entre nous »
Ce qui m’a particulièrement frappé, c’est ce qui s’est passé « entre nous ». Recevant chaque jour un passage d’Évangile et le regard de Jésus correspondant, nous avons marché sous ce regard, partagé sur cet Évangile, donné aux autres et reçu d’eux une étincelle d’Évangile dans nos vies personnelles. Jésus ne dit-il pas :
« Quand deux ou trois sont réunis en mon nom… Je suis là »
Marie nous tend Jésus,
Nous avons vécu quelque chose de ce que montre si bien les images et sculptures de Marie donnant Jésus en tendant ses bras, images si fortes pour les Petites Sœurs de Jésus, et pour nous pendant cette session.
Marie nous tend Jésus… chacun a tendu quelque chose de Jésus aux membres du groupe de partage, en risquant son témoignage, en « l’abandonnant aux autres » en quelque sorte.
Chacun a essayé d’accueillir ce « Jésus tendu par les autres ».
Cela « sous son regard », particulièrement fort pendant nos temps de prière du matin, d’Eucharistie du soir, de relecture de la journée avant d’aller dormir.
J’aime « faire communauté d’Église » ainsi, devenir un peu plus « Évangile vivant » comme le dit Charles de Foucauld, dans une fraternité dont la vie de petite sœur Magdeleine témoigne si fortement.
« Gresse en Vercors nous a accueillis en cet été 2021, et plus particulièrement Frère Michel, habitant de ce lieu magnifique. »
C’est par ces mots que Cathy et Isabelle nous donnent un aperçu de ce qui s’est vécu durant la session « Marche et Parole » d’août dernier.
Flashs de ressentis
A l’unanimité, les vingt cinq randonneurs que nous étions, avons apprécié de cheminer dans le partage et la confiance autour d’expériences vécues, de réflexions personnelles, en lien avec ce que les textes donnés chaque jour réveillaient en nous.
Nous avons goûté aussi aux joies de la cuisine à préparer à tour de rôle, et par les produits régionaux apportés en toute simplicité et générosité des quatre coins de France, d’Allemagne, d’Espagne dont nous provenions les uns et les autres.
Avancer ensemble
Jour après jour, au fil de nos pas, de nos vies, nous avancions ensemble dans le silence, la méditation, la contemplation, en alternance avec des moments d’échanges pour laisser résonner en nous les paroles de Jésus.
-Nous sommes partis sur les sentiers sans trop savoir ce que nous allions trouver derrière les épais nuages qui nous enveloppaient, mais devinant déjà, de ci de là, au détour d’une éclaircie, la splendeur du Mont Aiguille et du Grand Veymont, comme autant d’appels à élever nos regards et nos cœurs.
Quel regard !
Comme Zachée, le jeune homme riche, Pierre, la veuve de Naïm… nous avons cheminé sous le regard de Jésus, un regard qui invite à la confiance, au possible de Dieu, au pardon…
Ainsi soutenus par le regard d’amour de Jésus, nous apprenons à porter, sur nos vies et sur nos frères, un regard d’espérance; et la joie illumine nos coeurs.
Et François de conclure ~ ~ ~
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« Tout commence par le regard, puis vient la parole bienveillante envers qui que ce soit, car Jésus est en chacun de nous afin que nous transmettions Son Amour, sa tendresse, les uns envers les autres. »
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En sortant de la maison pour aller au travail, je porte en mon cœur ces Paroles de l’Évangile de Jean 6, 39 :
« La volonté de Celui qui m’a envoyé est, que rien ne se perde de ce qu’il m’a donné. Mais que je le ressuscite au dernier jour ».
Parole de Dieu entendue, méditée, inscrite dans la vie quotidienne d’Anna Serena, une petite sœur qui vit à la fraternité de Naples, en Italie.
Que rien ne se perde !
Quelle reconnaissance ! Avec Jésus, rien ne se perd de mon humanité, rien ne se perd de chaque personne qui habite ce quartier, cette ville, le monde entier!
La voix de Carmine me sort de mes réflexion :
« Anna vite, l’autobus arrive! »
En vitesse je traverse la rue et monte dans le bus.
En sortant de la maison…
Jour après jour dans les transports, des amitiés se tissent
Rien ne se perd des rencontres
A cette heure-là, nous sommes toujours les mêmes à nous retrouver dans le bus.
Au long des années, jour après jours, la connaissance mutuelle s’approfondit. Antonella et Carmela sont devenues des amies. Nous discutons du temps, du travail… puis petit à petit sur la famille, le quartier, la ville.
Un jour Antonella me demande: « L’une de vous ne cherche-t-elle pas du travail? »
– Oui, Clémence a besoin de compléter ses heures hebdomadaires.
L’information est donnée d’un poste à pourvoir.
Rien ne se perd… de l’amitié, de l’attention dans la réalité si ordinaire.
Aucun sourire ne se perd
Après être descendue du bus, je parcours différentes rues avant d’arriver au centre Naples où je travaille comme femme de ménage dans une famille.
C’est l’heure où les boutiques ouvrent leur porte, et sur mon trajet je salue Marco en train de préparer son épicerie. Chaque fois qu’il y a du soleil, il sort en disant :
« aujourd’hui, c’est une bonne journée! »
Nous échangeons un sourire, je le devine à ses yeux qui dépassent le masque, un sourire « qui ne sera pas perdu ».
Une belle journée s’annonce
« Veux-tu un café? »
Pas un café ne se perd !
Un peu plus loin j’aime m’arrêter avec Enzo qui ouvre sa boutique de souvenirs malgré la pandémie:
« Je gagne très peu, mais entre nous, vendeurs, nous nous soutenons. Veux-tu un café? »
Comment ne pas être touchée par ces attentions quotidiennes alors même que la situation sanitaire aggrave les difficultés d’existence? Non, rien de tout cela n’est perdu.
Après trois quart d’heure, me voilà enfin au travail. Rien de ces premières heures de la journée n’est perdu. Tout reste dans mon cœur, dans ma prière
A la fin de l’année 1936, la Fraternité des Petites Sœurs n’existe pas encore, Magdeleine Hutin – qui deviendra Petite Sœur Magdeleine de Jésus -, sa maman et une compagne arrivent à Boghari, à 150 km d’Alger. Elles s’installent dans un quartier complètement arabe.
Carte de l’Algérie nord
Quelques jours après notre arrivée, sans qu’on l’ai cherché, des petites et des grandes filles viennent nous demander de leur apprendre à coudre et des malades nous supplient de les soigner. »
Toutes les trois vont se dévouer de jour et de nuit au service des plus vulnérables, les accueillant chez elles ou en allant à leur rencontre dans les campements alentours.
La vie est rude, pauvre, cependant la confiance mutuelle, les amitiés qui se tissent, remplissent de joie le cœur de Magdeleine.
Questionnement :
Après deux ans de cette vie intense Magdeleine s’interroge:
« Pendant un temps, surtout quand on a été bridé par les circonstances, on peut se laisser griser par la fièvre d’une activité toujours croissante, par la joie de se donner à toutes les misères, mais on s’aperçoit vite que dans un tel débordement d’activité quelque chose d’essentiel manque : le temps de se recueillir et de prier ».
Se laisser griser par une activité débordante
Ce manque est un rappel du désir qui habite Magdeleine depuis si longtemps :
* * *
« Or, le bon Dieu m’avait donné une vocation, sinon de cloîtrée, du moins de contemplative, mêlée au monde, pour y rendre présent le Seigneur comme la Vierge de la Visitation et pour y porter, au-delà des secours matériels, la certitude de son Amour. »
« Le Seigneur attendait cette heure… »
Magdeleine se laisse guider
Un pèlerinage est annoncé pour le 19 mars à El Goléa pour la bénédiction de la nouvelle église construite près du tombeau du Père de Foucauld.
Elles s’y rendent: « Dans le désir intense d’un pèlerinage de prière et de pénitence pour supplier le Seigneur de nous aider à connaître sa volonté. »
Une réponse rapide
A leur retour d’El Goléa, l’abbé Declercq, curé de la paroisse, leur annonce qu’une congrégation religieuse était prête à prendre le relai de leur activité à Boghari et cela sans tarder.
« Nous trouvons un peu rapide la réponse à notre prière… »
« Dieu me prenait par la main… »
Quitter ces activités débordantes où Magdeleine sentait bien que là n’était pas sa vocation est un soulagement à quoi se mêle la tristesse de laisser ses amis devenus si chers.
« Pourquoi avons-nous tant de peine alors que nous sommes sûres de ne pas être à notre place à Boghari? Inconséquence du cœur humain qui s’attache…
Une nouvelle fois, Dieu me prenait par la main et, aveuglément, je suivais. »
Magdeleine exprime alors à Monseigneur Nouet, Préfet apostolique, son désir irrésistible d’aller s’enfermer quelques mois dans un noviciat religieux pour se recueillir dans le silence, et réparer ses forces spirituelles après la suractivité de Boghari.
Ainsi, au fil des étapes, de leur discernement, l’intuition fondatrice de la Fraternité continuera de se préciser.
Dans l’article précédent nous avons parlé de l’étape du vieillissement, des fragilités qui s’installent… Alors comment et où trouvons-nous la force de vie qui nous permet d’accueillir cette évolution?
L’itinéraire de chacune
Que nous soyons parties au loin ou restées en France, chacune est marquée par un passé qui a pétri sa vie, nourri son cœur.
« Aujourd’hui je ne peux pas vivre ici et là-bas, je garde quelques liens et surtout je chéris ces amis d’une autre façon. »
Loin de nos insertions de fraternité, notre vie communautaire -terreau de la rencontre des autres – s’accentue comme une aide précieuse.
« La proximité concrète avec le monde, accentuée par la distanciation sociale due à la pandémie, a évidemment diminué. Aujourd’hui ma principale proximité ce sont mes sœurs. »
Des peuples qui ont nourri notre cœur
Nourrir la joie d’être ensemble
« Cette vie communautaire dans une dépendance réciproque est un grand soutien, elle me permet de donner ce qui est encore possible de moi-même. »
« Il y a un chemin de bienveillance mutuelle, mais est-ce que j’accepte de dépendre de mes sœurs? Parfois en râlant, parfois joyeusement?
Lors d’une discussion rapide sur l’ajustement de taches à répartir :
« Notre dialogue fait d’écoute et de propositions m’a tout d’un coup touchée intérieurement et j’ai pensé : c’est ça notre vie ordinaire, fraternelle, dans une joyeuse simplicité. »
Inscrite dans l’être profond : la confiance
Comment accepter cette faiblesse sinon dans l’abandon confiant du premier jour qui a vu notre arrivée à la Fraternité?
« Au début de ma vie de petite sœur, j’étais « tout feu tout flamme » pour partir comme Abraham. Le feu est toujours là, au fond de moi, même si les forces, elles, diminuent de plus en plus »
« Il y a des mots que je me répète : « comme tu veux Jésus, quand tu veux, ce que tu veux ». Et aussi Seigneur aide moi à vivre cela pas à pas chaque jour. »
L’abandon nous le vivons plus ou moins facilement selon les circonstances, pourtant chacune s’accorde à dire qu’il est chemin de paix. Abandon confiant de soi même pour tout ce qui est à vivre, Abandon à Dieu dont la tendresse veille sur ceux que nous avons dû quitter.
Abandon confiant
Permanentes de la prière
Chaque jour la Parole de Dieu éclaire notre chemin
Chaque jour la Parole de Dieu nourrit notre chemin de relation avec Lui, avec les autres, avec nous même. Elle imprègne éclaire nos réactions, nos choix…
« Permanentes de la prière » pour implorer, remercier, confier… ceux qui nous le demandent et ceux qui ne le demandent pas.
La prière solitaire dans le désir d’un cœur à cœur avec Dieu, Lui qui crée le monde et qui remet tout entre nos mains.
Rassemblées de différentes régions de France et du monde pour vivre ensemble l’étape de la vieillesse, les petites sœurs de Toulouse constatent, avec un certain humour, leur dépouillement humain et la conquête permanente pour la vie.
Un constat:
Énumérons quelques aspects de cette étape que tant d’autres personnes expérimentent:
Tous les petits changements d’horaires, de lieux, de réunions… troublent les rythmes, déstabilisent.
L’audition et la vue, moins précises, nous jouent des tours cocasses dans les relations au quotidien.
La mémoire s’amuse à cache cache avec les informations reçues, les dates à retenir, les objets…
Les articulations manifestent, parfois vivement, leur besoin d’attention, de renouvellement…
Où sont passées mes clés?
Allons-nous en rester là?
A la porte de la chapelle…
Si nous en restons à toutes nos limites, qui sont bien réelles par rapport à hier, nous glissons vers le regret, la nostalgie, la tristesse alors qu’il reste de nouveaux chemins à parcourir.
Nous ne pouvons plus nous activer dans un « faire », n’est-ce pas temps d’accentuer l' »Être »?
C’est Lui qui habille les fleurs des champs de beauté
« Ne vous faites pas de souci pour votre vie, Dieu sait ce dont vous avez besoin. »
Évangile de Mat 6, 25-33
Dans ce partage attentif reviennent souvent les mots d’ « Enfance spirituelle », un des aspects importants de notre charisme. Nous avons cherché, désiré… cette enfance spirituelle, nous aurait-elle façonnées, un tant soit peu, tout au long du chemin sans que nous le percevions ?
C’est Lui qui nourrit les oiseaux
Continuité et renouveau
Le confinement, nos propres limites, entrainent une diminution des relations. Si on y regarde de plus près on s’aperçoit qu’elles ne sont pas absentes, elles se sont adaptées au réel!
Aujourd’hui nous avons besoin de soins, d’assistance ménagère, d’aide dans nos démarches informatiques et administratives, de relais pour la mobilité… Toutes ces personnes qui interviennent à nos côtés, sont des relations humaines qui demandent notre attention et nous permettent en même temps de rester ouvertes au monde actuel.
… et administratives.
Démarches spirituelles…
Si notre désir d’un « vivre avec » marque notre chemin de Fraternité, peut-être s’accentue-t-il dans un « comme » à l’étape des fragilités, notamment celles de l’âge.
Dans le prochain article nous poursuivrons sur les points forts qui nous aident dans cette étape du vieillissement.
Cette année encore, en espérant que l’évolution de la pandémie le permettra, nous aurons la joie de vivre cette belle aventure d’une session ensemble, ami(e)s et petites sœurs.
Si ces moments de partage, de vie fraternelle, se font à l’écoute de la Parole de Dieu, de nos textes sources, et dans un climat de silence et de prière, toute personne en recherche du sens de la vie, peut y trouver sa place et enrichir le groupe.
« Viens et vois »
Philippe, un disciple de Jésus, annonce à Nathanaël qu’ils ont trouvé, celui que la Loi et les prophètes ont annoncé.
Nathanaël est septique, alors Philippe lui dit : « Viens et vois »! C’est avec ces mots de l’Évangile de Jean 1, 46 que nous cheminerons ensemble durant cette session.
La marche fait partie de la session, en allant « au pas du plus petit ». Le but n’est pas de faire de grandes randonnées.
Première session
Du samedi 5 juin à partir de 17 h, au samedi 12 juin 2021, à 9 h.
S’inscrire : Avant le 8 mai
Deuxième session
Du samedi 31 juillet à partir de 17 h, au samedi 7 août, 9 h.
S’inscrire : Avant le 15 juin
Les deux sessions se font à :
Maison Champagnat 1396 Montée de Serpaton UCLAIRE 38650 GRESSE-EN-VERCORS
Inscriptions
Inscriptions et informations auprès de :
Petite sœur Patricia Guylaine 49 chemin du Vallon 31400 Toulouse Tél : 07 74 52 65 28 adresse mail : ps.patriciaguylaine@gmail.com